Jacques Percebois, Julie de Brux, Patrice Geoffron, Pierre-Benoit Joly, Reza Lahidji, et Emile Quinet s’associent et proposent pour Confrontations Europe leur analyse socio-économique sur le projet français en matière de stockage géologique des déchets radioactifs. [vc_btn title= »Télécharger l’article au format PDF » color= »primary » size= »lg » align= »center » css_animation= »slideInRight » button_block= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2022%2F04%2FPercebois.pdf||| »] Doit-on stocker profondément les déchets radioactifs ou bien les garder en surface, dans l’attente d’une solution technique nouvelle permettant de les traiter ? Tels sont les termes du débat relatifs à la gestion de ces déchets, résumés ici de façon simple. La France fait partie, avec la Finlande et la Suède, des trois pays européens les plus avancés dans le stockage des déchets radioactifs les plus dangereux, en assurant leur confinement dans une couche géologique profonde (i.e. à quelques centaines de mètres sous la surface). Notons que cette solution est également retenue par la plupart des pays qui disposent aujourd’hui d’un parc nucléaire, de
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