Télécharger l’article [vc_btn title= »Cliquez-ici pour télécharger l’article » color= »primary » align= »center » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2023%2F02%2FArticle-Julien-Vercueil-VDEF.pdf||target:%20_blank|rel:nofollow »] Par Julien Vercueil, Centre de recherche Europe Eurasie, Inalco Même provisoire, le bilan économique de la guerre d’invasion menée par la Russie en Ukraine est difficile à tirer. La partie la plus touchée par les destructions reste une zone de conflit que les autorités ukrainiennes, pour des raisons évidentes de sécurité, n’autorisent pas à arpenter avec le soin qui serait nécessaire à un recueil systématique de données. Quant aux régions encore occupées par l’armée russe (20 % du territoire ukrainien), l’accès au terrain y est impossible. Par ailleurs, aucune des deux parties n’a intérêt à fournir une évaluation très précise des dommages : côté ukrainien, on peut craindre que les informations divulguées puissent être exploitées par l’ennemi ; côté russe, on a pris pour parti de nier la réalité même de la guerre pour nourrir le narratif nationaliste. On
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