Numérique : une économie de la donnée libérée ?

Carole ULMER Directrice des études de Confrontations Europe [vc_btn title= »Télécharger l’article » style= »outline » color= »primary » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2017%2F10%2FConfrontations-Europe-n%C2%B0-119-PDF-BD-P14.pdf||target:%20_blank| »] À travers la collecte, l’utilisation, le partage et le stockage des données, nos activités quotidiennes sont déjà passées au peigne fin. Nouvel or noir du xxie siècle, les données constituent cette nouvelle matière première sur laquelle entreprises et pouvoirs publics s’interrogent : quelle est la meilleure façon d’en tirer bénéfice ? Deux cent quatre-vingt-cinq milliards d’euros, c’est la valeur de cette « économie de la donnée »(1), en 2015, d’après la Commission européenne. Une économie qui pourrait atteindre 739 milliards soit 4 % du PIB européen en 2020, nonobstant des conditions favorables. Compte tenu de la part croissante de la digitalisation de nos entreprises et afin de favoriser la croissance et permettre aux acteurs économiques d’agir plus efficacement, la Commission européenne s’est engagée dans le processus de constitution d’un véritable Marché unique numérique depuis 2014. Après

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