Défense européenne : le défi de l’appropriation

Edouard SIMON Directeur du bureau de Bruxelles, Confrontations Europe [vc_btn title= »Télécharger l’article » color= »primary » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » css_animation= »bounceInRight » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2018%2F07%2FRevue-122-P23.pdf||target:%20_blank| »] Après des années de demi-succès, voire de vrais reculs, les enjeux de défense connaissent de véritables progrès au sein des institutions de l’Union européenne. Mais ces programmes doivent être portés par une véritable stratégie politique. Les questions de défense et d’armement sortent enfin des limbes européens, dans lesquels elles étaient plongées depuis plusieurs années. En l’espace d’un an et demi, en effet, trois projets majeurs, qui changent radicalement l’univers de la défense européenne, ont vu le jour : le lancement de la coopération structurée permanente (PESCO), la mise en œuvre d’un processus de revue annuel des capacités nationales de défense pour permettre un accroissement de la coopération (CARD) et l’adoption des deux volets de ce qui sera bientôt le Fonds Européen de Défense (FED). À ces trois créations, il faut ajouter

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