Face à l’urgence climatique, l’enjeu est financier

Pierre Ducret Conseiller climat et COP21 du groupe Caisse des Dépôts, président d’I4CE, Institute for Climate Economics [vc_btn title= »Télécharger l’article » style= »outline » color= »blue » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2016%2F07%2FRevue-111-Confrontations-Europe-p8-9.pdf||target:%20_blank »] La transition vers une économie bas carbone nécessitera la mobilisation de montants élevés et réguliers de capitaux dans les prochaines décennies. Si cette question financière figure parmi les principaux enjeux de la COP21, elle dépasse largement l’obtention d’un accord à Paris et doit mobiliser l’ensemble du secteur financier. Tenir la promesse de Copenhague. Pour adhérer à un accord à Paris, à l’issue de la Conférence internationale sur le changement climatique (COP21), les pays en développement ont fixé une condition : que les pays développés tiennent l’engagement qu’ils ont pris il y a six ans, lors de la COP15 de Copenhague, d’atteindre un rythme annuel de transferts de 100 milliards de dollars en 2020. Aujourd’hui, cette promesse est crédible : en octobre, une étude

Ce contenu est réservé aux abonné(e)s. Vous souhaitez vous abonner ? Merci de cliquer sur le lien ci-après -> S'abonner

Connexion pour les utilisateurs enregistrés
   

Derniers articles

Articles liés