Carole ULMER Directrice des études, Confrontations Europe [vc_btn title= »Télécharger l’article » style= »outline » color= »blue » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2017%2F01%2FP16-Confrontations-116.pdf||target:%20_blank »] Depuis une vingtaine d’années, les économies européennes, et notamment l’économie française, connaissent un fort ralentissement de la croissance de leur productivité. De quoi susciter de profondes inquiétudes. Car si « la productivité n’est pas tout, à long terme elle est presque tout », rappelle Paul Krugman. La productivité est anémique : comment l’expliquer ? Une première discussion consiste à mettre en avant des déficiences en termes de mesure. Chacun des termes du ratio définissant la productivité fait débat. Les controverses autour de la mesure du PIB(1) sont connues. Est notamment mis en avant un défaut de prise en compte de la qualité des services : comment imaginer en effet que le monde des technologies de l’information et de la communication n’aiderait pas à mieux comprendre, comparer, choisir ? L’évolution des modes de vie est aujourd’hui
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