Sébastien JEAN Directeur du CEPII (Centre d’Études prospectives et d’Informations internationales) [vc_btn title= »Télécharger l’article » style= »outline » color= »blue » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2016%2F07%2Frevue-114-jean-p-18.pdf||target:%20_blank »] Le ralentissement du commerce mondial ne se dément pas. Comment expliquer cette stagnation qui perdure ? Pourquoi les prévisions de l’OMC apparaissent-elles toujours surévaluées ? Deux facteurs liés aux changements structurels que connaît le commerce mondial semblent expliquer ce phénomène. Après la pluie vient le beau temps. Cet adage a pu laisser penser que l’effet dépressif de la crise économique et financière de 2007-2009 sur le commerce mondial ne durerait pas, et que ce dernier reprendrait sa croissance. Près de dix ans après le début de la crise, et plus de sept ans après la faillite de Lehman Brothers, cette embellie se fait pourtant toujours attendre, si bien que ce qui avait pu être considéré comme un creux conjoncturel apparaît de plus en plus comme un changement de tendance.
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