Dominique GRABER Directrice des Affaires publiques européennes de BNP Paribas, vice-présidente de Confrontations Europe [vc_btn title= »Télécharger l’article » color= »primary » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2019%2F02%2FP16-Enjeu-cohesion_124.pdf||| »] Les grandes banques ont pâti de l’excès de régulations préconisées par les deux dernières Commissions. Il serait temps qu’elles retrouvent une véritable compétitivité au niveau international. Dominique Graber, directrice des Affaires publiques européennes de BNP Paribas, nous propose quelques pistes d’action concrètes de mise en œuvre. Un bilan en demi-teinte. Les deux dernières commissions ont été marquées par une avalanche réglementaire dont l’objectif, fixé par le G20, était de renforcer la stabilité financière et d’assurer une croissance durable. Qu’en est-il dix ans après ? Le président du Conseil de Stabilité financière(1) Mark Carney reconnaissait dans une lettre envoyée en juillet 2017 au G20, que « the largest banks are considerably stronger, more liquid and more focused »(2). Compte tenu des gigantesques efforts réalisés par les banques, on pourrait espérer que
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