La transformation digitale est une transformation de notre façon de travailler

Benedickt BENENATI Vice-Président Digital Communications, Renault [vc_btn title= »Télécharger l’article » style= »outline » color= »blue » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2016%2F07%2Finterface-numerique-benenati-p7.pdf||target:%20_blank »] La question pour Renault comme pour toute grande entreprise n’est pas « faut-il faire sa transformation digitale ? », mais « comment la mettre en place ? ». Evidemment le recrutement de data scientists et de spécialistes du big data est une priorité pour Renault, mais pour réussir une transformation digitale ces compétences ne suffisent pas et Renault a pris conscience que les façons de travailler doivent changer et que le rôle des leaders est clé pour encourager la collaboration et la transversalité dans un système qui est traditionnellement vertical et hiérarchisé. L’enjeu est de faire vivre concrètement aux collaborateurs des expériences structurantes comme le partage, le peer-to-peer, le crowd-sourcing et l’open innovation. Des concepts abstraits qui sont pourtant la quintessence du nouveau monde digital. L’importance du « soft » L’importance du ‘soft’ –

Ce contenu est réservé aux abonné(e)s. Vous souhaitez vous abonner ? Merci de cliquer sur le lien ci-après -> S'abonner

Connexion pour les utilisateurs enregistrés
   

Derniers articles

Articles liés