Silvia MERLER Chercheur associée à Bruegel [vc_btn title= »Télécharger l’article » style= »outline » color= »blue » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2016%2F07%2Frevue-114-merler-p-28.pdf||target:%20_blank »] Depuis 2010, date de la crise de la dette souveraine, la situation des banques italiennes ne cesse de se détériorer. Les banques ont accumulé des créances douteuses. La création d’un plan de garantie des prêts non performants devrait permettre d’assainir les bilans des établissements bancaires transalpins. Mais la solidité de l’Union bancaire est mise à mal. Ces derniers mois ont été riches en événements pour le système bancaire italien : en 2015, plusieurs épisodes de « résolution » ; en 2016, la mise en place d’un schéma de garantie pour les prêts non performants et d’un fonds de sûreté financé par les banques1. Ces trois épisodes, étroitement liés, ont pour dénominateur commun les problèmes non résolus du système bancaire italien. Les banques italiennes ont bien résisté à la première vague de la crise financière
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