Anne MACEY et Clotilde WARIN Déléguée générale et Directrice de la rédaction, Confrontations Europe [vc_btn title= »Télécharger l’article » style= »outline » color= »blue » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2016%2F04%2FRevue-113-Edito-Macey-Warin-P3.pdf||target:%20_blank »] « I want my money back », cette injonction célèbre de Margaret Thatcher lors du Conseil européen fin 1979 n’est pas le propre du seul Royaume-Uni. Elle semble aujourd’hui emblématique des égoïsmes nationaux, qui ne cherchent ni à penser l’Europe dans le monde, ni à mutualiser les atouts pour décupler nos forces communes. Le « non » au référendum néerlandais sur l’accord commercial entre l’Union européenne et l’Ukraine (61 %, même si la participation était faible) envoie un nouveau signal anti-Europe dont on se serait bien passé… mais dont le cri doit être entendu. Il témoigne d’une véritable crise de conscience en Europe, comme n’a cessé de l’affirmer avec force Philippe Herzog, président fondateur de Confrontations Europe. Nous peinons à nous projeter ensemble car nous ne comprenons pas toujours les raisons,
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