Dette grecque : l’insoutenable légèreté des creanciers

Christophe DESTAIS Directeur adjoint du CEPII (Centre d’études prospectives et d’informations internationales) [vc_btn title= »Télécharger l’article » style= »outline » color= »blue » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2016%2F07%2Frevue-114-destais-p-10.pdf||target:%20_blank »] Au mois de mai, la Grèce et ses créanciers européens sont parvenus à un accord alors que la Grèce est appelée à débourser plus de 2 milliards d’euros en ce début d’été. Même si des annulations « furtives » ont bien lieu, la dette grecque reste colossale. Est-elle viable pour ce pays de l’UE fortement traumatisé par l’austérité budgétaire qui lui est imposée ? Sans psychodrame. La Grèce et ses créanciers ont réussi, en mai, à trouver un accord technique sur le déboursement d’une deuxième tranche de crédits du Mécanisme Européen de Stabilité (MES), le fonds dont les pays membres de la zone euro détiennent le capital et qui est, désormais, le canal unique de la participation de ces derniers au financement des pays de l’union monétaire en crise. Ce résultat,

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