COP 22 : Après l’effervescence, un réveil douloureux

Michel CRUCIANI Chargé de mission au Centre de Géopolitique de l’Énergie et des Matières Premières à l’Université Paris-Dauphine, conseiller Énergie-Climat à Confrontations Europe [vc_btn title= »Télécharger l’article » style= »outline » color= »blue » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2017%2F01%2FP28-29-Confrontations-116.pdf||target:%20_blank »] Après le succès de la conférence de 2015 sur le climat, celle de 2016 à Marrakech s’annonçait comme une fête. L’élection de Donald Trump a subitement obscurci l’avenir de l’accord signé à Paris un an plus tôt. Ce fâcheux exemple pourrait compliquer les discussions autour du « paquet » législatif présenté par la Commission européenne, dont le volume déroute déjà bien des experts. La 22e conférence internationale sur le climat (COP 22) s’est ouverte le 6 novembre à Marrakech dans des conditions idéales. Moins d’un an après sa signature, l’Accord de Paris venait d’entrer en vigueur, une rapidité sans précédent dans l’histoire des traités internationaux, grâce à la ratification de 111 pays. Tous ont confirmé ainsi leur engagement à réduire

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