Accord de Paris : la route sera longue

Michel CRUCIANI Chargé de mission au Centre de Géopolitique de l’Énergie et des Matières Premières de l’Université Paris-Dauphine [vc_btn title= »Télécharger l’article » style= »outline » color= »blue » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2016%2F07%2Frevue-114-cruciani-p-26.pdf||target:%20_blank »] Le 12 décembre 2015, la communauté internationale traversait un moment d’euphorie, avec l’adoption de l’Accord de Paris sur la lutte contre le changement climatique. Six mois plus tard, les attentes restent fortes alors que certains pays pourraient tarder à ratifier un accord dont l’entrée en vigueur est prévue pour… 2020. Ce n’était qu’un début. En décembre dernier, les négociateurs ont approuvé au Bourget un texte commun destiné à contenir le changement climatique. Mais, comme le requiert le processus international, le texte, doit d’abord être signé par les chefs d’État ou de gouvernement, puis soumis à une procédure de ratification, impliquant en général les parlements nationaux. La première étape de ce cheminement est bien engagée : présenté formellement le 22 avril 2016, l’Accord de Paris

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