Thierry PHILIPPONNAT Directeur de l’Institut Friedland [vc_btn title= »Télécharger l’article » style= »outline » color= »primary » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2017%2F06%2FConfrontations-Europe-n%25C2%25B0-118-PDF-BD-P20-21.pdf||target:%20_blank| »] De façon inéluctable, le Brexit signe la fin du passeport européen pour les entreprises de la City. Si le régime dit d’équivalence pays tiers pourrait en théorie leur donner accès au marché unique, ce régime est, dans les faits, trop instable pour leur permettre de développer leur activité. La seule solution restante est le déménagement vers un pays de l’Union européenne mais la question se pose alors de la « substance » de ce déménagement : assistera-t-on à une relocalisation réelle des entreprises concernées ou la concurrence entre États membres de l’Union conduira-t-elle à l’acceptation de simples boîtes à lettres pour les entreprises de la City voulant accéder au marché unique ? L’histoire de deux camps. C’est, en apparence, ainsi que l’on pourrait définir les négociations à venir sur le Brexit entre le Royaume-Uni
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