Roumanie : ne laissons pas la société civile livrée à elle-même !

Ovidiu VOICU Chercheur, activiste et consultant, directeur du Centre pour l’innovation publique (CPI) à Bucarest, un mouvement qui mène un travail politique et de lobby sur des thèmes comme la démocratie, les droits, l’ouverture gouvernementale et la migration [vc_btn title= »Télécharger l’article » color= »primary » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » css_animation= »bounceInRight » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2018%2F07%2FRevue-122-P8.pdf||target:%20_blank| »] En Roumanie, la marge de manœuvre de l’action civique se réduit de plus en plus alors même que les passerelles entre autorités publiques et société civile sont en train d’être coupées. Autant de signes que les tendances antilibérales de la majorité politique actuelle gagnent encore du terrain sur une société civile qui a du mal à les contrecarrer. Problème dominant : la corruption. Avec un nombre impressionnant de personnalités politiques de haut rang sous le coup d’une enquête, la ­Roumanie a bien du mal à lutter contre la corruption, qui gangrène encore la sphère publique. En décembre 2015, suite à un violent incendie

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