Hervé JOUANJEAN Vice-président de CE, ancien directeur général à la Commission européenne [vc_btn title= »Télécharger l’article » color= »primary » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2019%2F04%2F32P-CONFRONTATIONS-EUROPE-n125-PDF-BD-p27.pdf||target:%20_blank| »] À l’heure où ces lignes sont écrites, la Première ministre britannique a demandé une nouvelle extension jusqu’au 30 juin prochain de la période disponible au titre de l’article 50 du Traité sur l’Union Européenne (TUE) selon lequel « tout État membre peut décider conformément à ses règles constitutionnelles de se retirer de l’Union ». Et les discussions se poursuivent à Londres, difficilement, entre conservateurs et travaillistes alors que la Chambre des Communes tente de prendre le pouvoir dans cette négociation. Pour l’observateur des mœurs politiques britanniques, c’est un épisode tout à fait passionnant. Un cours de droit constitutionnel en raccourci qui nous ramène à la problématique des relations de pouvoir entre les prérogatives royales et celles de la Chambre des Communes et qui amène l’extraordinaire John Bercow, le speaker
Ce contenu est réservé aux abonné(e)s. Vous souhaitez vous abonner ? Merci de cliquer sur le lien ci-après -> S'abonner