Amandine Brugière et Aurialie Jublin Chargées du programme Digiwork FING (Association pour la Fondation Internet Nouvelle Génération) [vc_btn title= »Télécharger l’article » style= »outline » color= »blue » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2016%2F07%2FRevue-111-Confrontations-Europe-p23.pdf||target:%20_blank »] Les débats autour de la question de l’emploi et du numérique divisent les experts : le numérique favorise-t-il l’emploi ou au contraire est-il un facteur de destruction du travail ? Au-delà de cette controverse, il est temps de s’interroger sur l’enjeu des transformations que connaît le monde du travail. «Avant la fin du siècle, 70 % des emplois actuels seront automatisés et remplacés par des machines » écrivait, en 2012, le rédacteur en chef de la revue américaine Wired, Kevin Kelly. Depuis, les études et rapports d’experts se sont multipliés : le rapport de Bloomberg annonce que 50 % de la main-d’œuvre aux États-Unis pourrait être remplacée par des robots d’ici dix à vingt ans. En France, le cabinet Roland Berger estime que,
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