Par Olivier Bogillot, Président de Sanofi-France [vc_btn title= »Télécharger l’article » color= »primary » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2022%2F02%2F05-133.pdf||target:%20_blank| »][vc_btn title= »English Version » color= »primary » align= »right » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2022%2F02%2F22-133-OB.pdf||target:%20_blank| »] Dès le discours de la Sorbonne de septembre 2017, prise de position marquante du Président Macron sur la souveraineté européenne, la France a, sur la durée, joué la carte européenne sanitaire en s’appuyant sur certaines de ses propres « success stories » comme les Plans Maladies Rares ou Cancer. Et face à la crise sanitaire et économique que nous traversons, l’affirmation d’une politique de souveraineté et d’investissement à l’échelon européen viendra consolider les avancées des Plans de Relance et Innovation 2030 au niveau national. Pour le secteur des industries de santé dans son ensemble, c’est un moment déterminant pour la compétitivité et l’attractivité de l’Europe dans la compétition internationale. Il y a une véritable reconnaissance de l’industrie pharmaceutique comme secteur stratégique pour l’Europe et sa souveraineté, et le discours du
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