Dušan RELJIC Directeur du bureau de Bruxelles de l’Institut allemand pour les affaires internationales et la sécurité (SWP), Berlin [vc_btn title= »Télécharger l’article » style= »outline » color= »blue » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2016%2F10%2FP-17-UE-Post-Brexit_115.pdf||target:%20_blank »] L’adhésion des pays des Balkans occidentaux à l’Union européenne traîne. En cause la structure même des relations économiques et politiques établies entre l’UE et ces pays. Ce n’est pas le Brexit ou l’euroscepticisme qui bloque l’adhésion à l’UE de la majorité des États de l’ancienne République yougoslave et de l’Albanie. Si ces pays étaient riches et dotés d’institutions politiques établies comme la Norvège ou la Suisse, la classe politique et les peuples de l’UE les accueilleraient certainement à bras ouverts. En l’état actuel, les pays des Balkans occidentaux semblent représenter un risque financier et politique et les dirigeants européens jugent plus sage de les tenir à l’écart. Toutefois, les décideurs et les faiseurs d’opinion de l’UE n’ont pas conscience de la véritable
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