Plan Juncker 2.0 : une prolongation bienvenue

Dominique RIQUET Député européen, Président de l’intergroupe « Investissement de long terme et réindustrialisation » [vc_btn title= »Télécharger l’article » style= »outline » color= »blue » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2017%2F01%2FFR-Interface-106-ILT-p6.pdf||target:%20_blank »] Mesure phare du programme de la Commission Juncker, le Plan d’investissement pour l’Europe prévoyait trois volets. Le premier et principal consistait à l’établissement, au sein de la Banque européenne d’investissement (BEI), du fonds pour les investissements stratégiques (FEIS). Le second volet voulait faire en sorte que ces financements profitent à l’économie réelle. Quant au 3ème, il s’agissait de créer un environnement propice aux investissements. Le FEIS est destiné à mobiliser des liquidités privées pour financer des projets d’infrastructures, boudés jusqu’alors par des investisseurs effrayés, mais aussi à faciliter le financement des PME via un renforcement du Fonds européen pour l’investissement (FEI). Objectif affiché pour ce fonds doté de 21 milliards d’euros de garantie (dont 16 milliards de l’UE et 5 milliards de la BEI) :

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