Pesco ou l’occasion manquée pour la défense européenne

Federico SANTOPINTO Chercheur au Groupe de recherche et d’Information sur la Paix et la Sécurité (GRIP) [vc_btn title= »Télécharger l’article » color= »primary » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » css_animation= »bounceInRight » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2018%2F07%2FRevue-122-P25.pdf||target:%20_blank| »] Les États membres ont-ils vidé de son sens la « coopération structurée permanente » (CSP ou PESCO) ? Pour Federico Santopinto, chercheur au GRIP, PESCO repose sur des engagements « apolitiques » et « inconsistants » qui ne lui permettront pas de répondre à l’ambition de départ. En décembre 2017, lors de son adoption, la Coopération structurée permanente (CSP), plus connue sous son acronyme anglais PESCO(1) a été présentée comme un tournant pour la défense européenne. La Haute représentante pour la politique étrangère de l’Union, Federica Mogherini, n’a pas hésité à qualifier ce moment d’« historique ». Pourtant, tous ne partagent pas ce même enthousiasme. L’ancien directeur général de l’Agence européenne de défense, Nick Witney, par exemple, s’est montré très critique vis-à-vis d’une initiative dont il ne perçoit pas la valeur ajoutée. Dans

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