Anne MACEY Déléguée générale de Confrontations Europe [vc_btn title= »Télécharger l’article » style= »outline » color= »blue » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fprod.confrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2016%2F03%2FRevue-109-Partenaires-dans-les-mutations-p12.pdf||target:%20_blank »] Dans ce dossier, nous avons souhaité donner la parole à un fin connaisseur de la Commission européenne, ainsi qu’à des représentants avertis côté patronat et côté travailleurs, pour qu’ils nous disent ce qu’il faudrait changer – y compris chez eux, tâche toujours la plus ardue –, pour revivifier « l’économie sociale de marché » en Europe. Avec l’ambition de devenir le « président du dialogue social », Jean-Claude Juncker, président de la Commission européenne, entend « donner un nouveau départ au dialogue social », trente ans après son impulsion par Jacques Delors. L’objectif était en 1985 de faire des partenaires sociaux des quasi-législateurs en matière sociale pour construire le marché unique, le but est aujourd’hui qu’ils participent à une coordination complexe multi-niveaux et multi-politiques. C’est plus difficile mais aussi nécessaire : les divergences
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