Le processus de Khartoum sur les migrants : partenariat Nord-Sud ou jeu de dupes ?

Dame Rosalind Marsden Chercheure associée à l’Institut Royal des Relations Internationales de Chatham House (Londres). Elle fut représentante spéciale de l’Union européenne pour le Soudan et le Soudan du Sud, de 2010 à 2013 [vc_btn title= »Télécharger l’article » style= »outline » color= »blue » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fprod.confrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2016%2F03%2FRevue-n%C2%B0111-Le-processus-de-Khartoum-sur-les-migrants-partenariat-Nord-Sud-ou-jeu-de-dupes-Dame-Rosalind-MARSDEN-p20-21.pdf||target:%20_blank »] Les migrants, qui risquent leur vie pour atteindre l’Europe, viennent de Syrie, d’Irak et d’Afghanistan, mais aussi de la Corne de l’Afrique. L’Union européenne a, en 2014, lancé le « processus de Khartoum » afin de lutter contre les migrations illégales au départ de cette région. Ce projet de coopération mené avec un régime, que certains tiennent pour responsable des migrations illégales et du trafic d’êtres humains, suscite des débats. L’Union européenne fait face à un afflux sans précédent de réfugiés et de migrants en provenance d’Afrique et du Moyen-Orient. Des centaines de milliers de personnes risquent leur vie pour débarquer sur les côtes européennes et

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