Le plus dur reste devant nous

Michel CRUCIANI et Morgane GORET-LE GUEN Conseiller Énergie & Climat pour Confrontations Europe et Morgane, chargée de mission à Confrontations Europe [vc_btn title= »Télécharger l’article » color= »primary » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2019%2F02%2FP21-Enjeu-souverainete_124.pdf||| »] La communauté internationale avance lentement et ce malgré la succession de catastrophes naturelles et les rapports d’experts attestant la réalité du changement climatique. La COP24 qui s’est tenue en Pologne en décembre a révélé le peu d’allant des Etats qui craignent de figurer parmi les perdants des restructurations nécessaires et qui choisissent d’entraver toute action. « Conférence de la dernière chance », « alerte rouge face au péril climatique », « course contre la montre »… Dans les semaines qui ont précédé la COP24(1), la presse internationale a utilisé les expressions les plus alarmistes pour illustrer le besoin urgent d’action, au terme d’une année 2018 marquée par les conséquences dramatiques de la hausse des températures. Sans doute fallait-il galvaniser les négociateurs qui risquaient d’être tétanisés

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