Yannick BLANC Président de la Fonda [vc_btn title= »Télécharger l’article » style= »outline » color= »blue » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fprod.confrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2016%2F03%2FInterface-confrontations-FR-98-p.4.pdf||target:%20_blank »] Html code here! Replace this with any non empty text and that's it. Le parcours criminel des terroristes de janvier, l’ampleur du phénomène de radicalisation observé dans certains quartiers d’habitat social mettent en exergue la profondeur et la persistance de ce que Manuel Valls, reprenant une expression utilisée par J.-P. Chevènement il y a plus de 15 ans, a appelé l’apartheid social. Le phénomène n’est pas nouveau, il a été analysé par J.-M. Delarue il y a vingt-cinq ans[1] et par Jacques Donzelot il y a dix ans, au moment des émeutes de 2005[1]. Il serait grotesque de dire que rien n’a été fait entre temps et un peu rapide de proclamer une fois pour toutes « l’échec de la politique de la ville », mais la gravité des événements nous force à poser à nouveau
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