Stefan SEIDENDORF Directeur adjoint de l’Institut franco-allemand de Ludwigsburg (Deutsch-Französisches Institut) [vc_btn title= »Télécharger l’article » color= »primary » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2019%2F04%2F32P-CONFRONTATIONS-EUROPE-n125-PDF-BD-p24-25.pdf||target:%20_blank| »] Dans un contexte tendu marqué à l’extérieur de l’Europe par la crise du multilatéralisme et à l’intérieur des frontières de l’UE par un regain des nationalismes populistes, le couple franco-allemand a décidément une gamme à jouer. Mais l’Allemagne et la France ont-elles choisi de s’emparer de la partition ? À un moment crucial pour l’Union européenne, secouée par le Brexit, ébranlée par le renouveau du nationalisme à l’intérieur et menacée par des forces hostiles à l’extérieur, le « couple franco-allemand » n’arrive plus à imposer son leadership. La principale raison est l’absence d’une vision commune pour l’UE, qui serait à même d’entraîner aussi bien les autres pays membres que les citoyens de l’Union. La nouvelle dynamique du couple, qui s’est manifestée lors de la signature du nouveau traité franco-allemand à
Ce contenu est réservé aux abonné(e)s. Vous souhaitez vous abonner ? Merci de cliquer sur le lien ci-après -> S'abonner