La déclinaison du plan Juncker sur les territoires

Laurent ZYLBERBERG Directeur des relations institutionnelles, internationales et européennes – Groupe Caisse des Dépôts [vc_btn title= »Télécharger l’article » style= »outline » color= »blue » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2016%2F07%2Frevue-114-zylberg-p-24.pdf||target:%20_blank »] La capacité des institutions financières publiques nationales de jouer un rôle d’interface sur les territoires est un facteur clé de succès du plan. Sept années après le déclenchement de la crise financière et la récession qui a suivi, l’investissement en Europe reste inférieur de 12 % aux niveaux de 2007 dans la zone euro[1]. Pourtant, si l’on agrège les besoins d’investissement en infrastructures dans les réseaux transeuropéens de transport, d’énergie et de télécommunications, les besoins dans les secteurs de l’eau et des déchets, de la santé, dans l’enseignement ou en production d’électricité, les estimations les plus optimistes[2] prévoient un besoin annuel d’investissement de 650 milliards €. Ce déficit d’investissement entrave le potentiel de croissance de l’Europe sur le long terme. C’est dans ce contexte que la Commission européenne

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