Marie EKELAND Présidente de France Digitale [vc_btn title= »Télécharger l’article » style= »outline » color= »blue » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2016%2F07%2FRevue-109-pons-p25.pdf||target:%20_blank »] Il manquerait au moins 2 voire 4 milliards d’euros dans l’amorçage des start–up en France. Et pourtant, les talents ne manquent pas. La future Union des marchés de capitaux est-elle la réponse à ce défi ? Marie Ekeland, présidente de France Digitale, nous livre son analyse. Françoise Pons : Quel est le dynamisme des start-up en France ? Marie Ekeland : Il est stupéfiant de constater que le changement d’économie que nous vivons n’est ni visible, ni compris. Selon le baromètre que nous établissons tous les ans avec Ernst&Young, les start-up dans le numérique financées par le capital risque en France ont en moyenne une croissance de 42 % par an. Elles réalisent 40 % de leur chiffre d’affaires à l’international. Tous les ans, leurs effectifs croissent de 25 %. Ce sont des jeunes
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