Michele DI DONATO Chercheur à l’Université de Pise [vc_btn title= »Télécharger l’article » color= »primary » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2019%2F04%2F32P-CONFRONTATIONS-EUROPE-n125-PDF-BD-p10.pdf||target:%20_blank| »] En Italie, la campagne autour des élections européennes aura été en demi-teinte. La faible mobilisation des citoyens s’explique à la fois par des partis au gouvernement parfois violemment euro-critiques et par des citoyens dans l’expectative face aux mesures sociales promises par le gouvernement. « Les prochaines élections européennes seront les plus importantes de l’histoire de l’UE. » Voilà un cliché que l’on entend tous les cinq ans lorsque les citoyens du continent sont appelés à élire leurs représentants au sein d’un Parlement dont la plupart connaissent assez mal les compétences et les attributions. Dans l’Italie de 2019, cependant, cette affirmation est difficilement contestable. Le gouvernement actuel marque une rupture dans l’histoire du pays depuis l’après-guerre : pour la première fois, les partis qui le soutiennent – le Mouvement 5 étoiles et la Ligue
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