Philippe HERZOG Président fondateur de Confrontations Europe [vc_btn title= »Télécharger l’article » color= »primary » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » css_animation= »bounceInRight » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2018%2F01%2FConfrontation-Europe-120-PDF-BD-P4.pdf||target:%20_blank| »] L’année 2018 va être celle de la préparation d’un nouvel agenda politique pour l’Union. Si on ne réussit pas à ouvrir une perspective populaire positive, le marasme et les risques de désintégration s’accentueront. L’européisme du Président est bienvenu mais il ne doit pas masquer le sentiment croissant ici et ailleurs d’une Union subie comme une contrainte et non un espoir. Et il ne suffit pas de se contenter de plaider l’intégration économique et la consolidation de l’euro. Dans un contexte mondial très violent et une géo-économie non soutenable, la demande de sécurité apparaît comme une première priorité. L’Union ne peut y répondre sans faire de l’Europe une force géopolitique capable de pacifier les conflits et de façonner la mondialisation. Or elle a beau vouloir dire le droit, elle n’est pas encore une force
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