Édouard SIMON Directeur du Bureau de Bruxelles [vc_btn title= »Télécharger l’article » color= »primary » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2019%2F02%2FP24-25-Europe-urgence_124.pdf||| »] À six mois des élections européennes de 2019, le risque est de plus en plus grand que les débats qui les précèdent se centrent sur des sujets et des thématiques purement nationales. Or, il y a encore deux mois, la possibilité d’un débat européen, véritablement transnational, avait émergé autour notamment du projet de souveraineté européenne. L’enjeu de souveraineté numérique est un des volets centraux du débat. Plusieurs prises de position de dirigeants européens de premier plan ont légitimé la montée en puissance de la notion de souveraineté européenne ces dernières années : déclarations de la Chancelière allemande au lendemain de réunions du G7 et de l’OTAN particulièrement houleuses en mai 2017 (« L’époque où nous pouvions nous reposer sur d’autres est en partie révolue. L’Europe doit prendre son destin en main »), discours du Président français devant
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