Michel CRUCIANI Chargé de mission au Centre de Géopolitique de l’Énergie et des Matières Premières de l’Université Paris-Dauphine [vc_btn title= »Télécharger l’article » style= »outline » color= »blue » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2016%2F04%2FRevue-112-CLIMAT-place-a-la-societe-civile-M-CRUCIANI.pdf||target:%20_blank »] L’encre de l’Accord de Paris, à peine sèche, il convient d’ouvrir sans attendre les chantiers de l’après COP21. Bien que l’accord engage les États, la société civile est appelée à jouer un rôle majeur, particulièrement en Europe. L’accord unanime obtenu à Paris le 12 décembre 2015 marque un tournant dans l’attitude de l’humanité face au risque climatique. Désormais, la totalité des pays de la planète conviennent qu’il faut agir et aucun État ne subordonne son action à celle des autres. Chaque pays demeure libre du programme qu’il entend mettre en oeuvre, mais les dispositions qu’il retient seront exposées aux yeux de tous et sujettes à des mises à jour régulières. En parallèle à ces contributions nationales, l’accord prévoit des mesures transverses, dont
Ce contenu est réservé aux abonné(e)s. Vous souhaitez vous abonner ? Merci de cliquer sur le lien ci-après -> S'abonner