Hervé JOUANJEAN Vice-Président de Confrontations Europe [vc_btn title= »Télécharger l’article » style= »outline » color= »blue » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2017%2F01%2FP14-15-Confrontations-116.pdf||target:%20_blank »] La question budgétaire figurera au centre des négociations engagées au titre de l’article 50 du Traité sur l’Union européenne (TUE) sur le retrait du Royaume-Uni de l’Union. C’est un sujet peu abordé tant sa technicité est grande. Pourtant, l’enjeu est immense. Soixante milliards d’euros, ce serait, selon la rumeur, le coût estimé de la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne. Mais, les conséquences vont bien au-delà de l’« exit » puisqu’elles concernent l’avenir des politiques financées par le budget européen pour les 27 États membres restants. Le budget de l’Union européenne est pour l’essentiel un budget d’investissement. Les dépenses de fonctionnement en représentent moins de 6 %. Il est voté annuellement, selon une procédure comparable à celle de nos budgets nationaux, et il est encadré par un cadre financier pluriannuel de sept années qui détermine le plafond
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