Thierry Langreney Directeur général de Pacifica, directeur général adjoint de Crédit Agricole Assurances et président du Groupement des Bancassureurs Dommages [vc_btn title= »Télécharger l’article » style= »outline » color= »blue » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2016%2F07%2FRevue-111-Confrontations-Europe-p10.pdf||target:%20_blank »] Le nombre de catastrophes naturelles (ouragans, sécheresses…) est en augmentation régulière dans le monde. Mais, les dommages causés aux populations restent globalement sous assurés. Pour couvrir au mieux les risques climatiques, les assureurs s’appuient sur d’autres acteurs (réassureurs, investisseurs institutionnels) mais en appellent aussi à la solidarité publique internationale. Dans les années 1980, 300 catastrophes naturelles majeures (tempêtes, inondations, mouvements de terrain, sécheresses…) étaient recensées chaque année en moyenne dans le monde. Depuis 2010, on déplore en moyenne 800 événements de ce type par an(1). Le coût de ces catastrophes a plus que doublé : 50 milliards de dollars par an en moyenne dans les années 1980, 110 milliards de dollars par an depuis 2000. Sans compter celui des vies
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