À l’horizon 2025, quelles préférences sociales européennes ?

Anne MACEY Déléguée générale de Confrontations Europe [vc_btn title= »Télécharger l’article » style= »outline » color= »primary » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2017%2F10%2FConfrontations-Europe-n%C2%B0-119-PDF-BD-P12.pdf||target:%20_blank| »] Les présidents Juncker et Macron ont prononcé, cet automne, des discours visionnaires pour l’Europe. Mais s’ils semblent avoir pris la mesure des transformations nécessaires, est-ce le cas pour la dimension sociale de l’Union qu’ils entendent construire ? « L’Union européenne a toujours eu une dimension sociale », depuis le Traité de Rome, mais aujourd’hui « la convergence entre pays s’est considérablement ralentie, voire arrêtée, dans la mesure où les pays plus performants progressent plus vite »(1). Répondre aux défis communs suppose de nous accorder sur nos aspirations sociales collectives. C’est le sens du débat qu’entend lancer le livre blanc sur l’avenir de l’Europe de la Commission européenne et du document de réflexion sur la dimension sociale de l’Europe qui l’accompagne. Le « social » recouvre des réalités différentes selon les pays. Les sociétés européennes offrent les plus hauts niveaux

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