Des travailleurs plus autonomes mais pas encore assez bien protégés ?

Sandrino Graceffa président de SMart, société mutuelle d’artistes, de créatifs et de travailleurs autonomes (www.smartbe.be). [vc_btn title= »Télécharger l’article » style= »outline » color= »blue » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2016%2F06%2FRevue-111-Des-travailleurs-plus-autonomes-p24.pdf||target:%20_blank »] L’emploi salarié classique, qui conférait à l’employé un contrat stable et indéterminé, n’est plus le modèle prédominant. Le numérique a favorisé l’émergence d’un nouveau type de travailleurs : plus indépendants, plus polyvalents, « hybrides », mais qu’il faut savoir accompagner par un vrai système de protection sociale. Le monde du travail connaît une profonde mutation. Un élément déterminant de la centralité de l’entreprise, y compris dans ses formes coopératives, était la détention d’un outil, d’un instrument de production. C’est parce que l’on possédait la machine que l’on pouvait produire. Or aujourd’hui, l’outil de travail devient de plus en plus immatériel. Ce qui est central dans la production, dans l’entreprise contemporaine, est totalement dématérialisé et plutôt lié à la capacité créatrice, relevant de la matière grise

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