Un point sans retour de la nouvelle entente européenne ?

Dr. Filippa CHATZISTAVROU Chercheuse à ELIAMEP et enseignante à l’Université d’Athènes [vc_btn title= »Télécharger l’article » style= »outline » color= »blue » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2016%2F07%2FRevue-110-chatzistavrou-p13.pdf||target:%20_blank »] L’auteure, Filippa Chatzistavrou, voit dans le nouveau paquet de réformes imposé à la Grèce « une logique de liquidation judiciaire bien plus que de reconstruction ». La démission d’Alexis Tsipras, le 20 août 2015, a porté un coup d’arrêt aux velléités fédératives, que certains pouvaient encore espérer pour le projet européen. Dorénavant, personne ne peut croire à une possible fédéralisation du système politique européen érigeant au sein de l’Union européenne une véritable séparation et équilibre des pouvoirs, alors que s’amplifie le phénomène de désocialisation de l’économie. Depuis 2010, une nouvelle entente européenne s’esquisse, réunissant les partis du centre-droit – libéraux fédéralistes ou anti-fédéralistes – et du centre-gauche – des partis sociaux-libéraux jusqu’aux socialistes – autour du modèle d’intégration pour l’Union européenne. Il s’agit d’une méthode qui revendique le pragmatisme,

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