Taux d’intérêt négatif : les risques de cette politique

Carole ULMER Directrice des études, Confrontations  Europe [vc_btn title= »Télécharger l’article » style= »outline » color= »blue » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2016%2F05%2FRevue-113-taux-negatif-Ulmer-P15-16.pdf||target:%20_blank »] Une nouvelle réalité s’est imposée dans le paysage financier européen depuis quelque temps : certains taux d’intérêt nominaux négatifs sont proposés à ceux qui veulent déposer des fonds à la banque centrale. Une stratégie mise en place par la Banque centrale européenne afin de donner un nouvel élan à l’économie. Anomalie historique et conceptuelle : les banques doivent payer pour garder du cash au lieu de le prêter. Comment expliquer que le prêteur paie l’emprunteur ? La Banque Centrale européenne a, le 10 mars dernier, donné un coup d’accélérateur à sa politique non conventionnelle : elle a abaissé son taux directeur à 0 % en rendant ainsi les opérations de refinancement ciblées de long terme gratuites, et le taux de dépôt de 0,3 % à 0,4 % (autrement dit la Banque Centrale «

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