Anne MACEY Déléguée générale de Confrontations Europe [vc_btn title= »Télécharger l’article » style= »outline » color= »blue » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2016%2F10%2FP-22-23-Part-soc_115.pdf||target:%20_blank »] L’Europe ne doit pas renier sa spécificité : n’être ni dans le tout marché, ni dans le tout État. Le dialogue social doit se nourrir de cette richesse, et redéfinir ses règles à l’ère des bouleversements liés à la révolution numérique et à la transition énergétique. L’entreprise n’est l’apanage ni de l’actionnaire, ni du dirigeant. L’idée de base du dialogue social est qu’en organisant des relations collectives de travail, en mutualisant leurs forces, les travailleurs pourront mieux faire valoir leurs perspectives auprès des employeurs aux différents niveaux : entreprise, branche, interprofession, Europe. Ses acteurs sont a priori mieux au fait des réalités économiques et sociales sur les territoires, et mieux armés pour apporter des solutions plus équilibrées aux entreprises. C’est lorsque l’Europe se compare à d’autres grandes régions du monde que sa spécificité
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