Odile RENAUD-BASSO Directrice générale du Trésor [vc_btn title= »Télécharger l’article » style= »outline » color= »blue » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2017%2F01%2FP17-Confrontations-116.pdf||target:%20_blank »] Alors que le Premier ministre, Theresa May, n’a toujours pas déclenché, en ce début 2017, l’article 50, les acteurs de la City ont déjà demandé le maintien du « passeport européen ». Ce maintien supposerait de respecter des règles et principes dont le Royaume-Uni souhaite s’affranchir… La négociation, qui n’a toujours pas débuté, s’annonce périlleuse. Le Brexit ne constitue pas une bonne nouvelle, mais il s’agit d’une décision claire du peuple britannique que nous devons respecter en recherchant la meilleure solution pour l’Union européenne et pour la France. Pour les marchés financiers, le Brexit aura plusieurs conséquences. Tout d’abord, le marché intérieur signifie, pour les services financiers, la possibilité pour les acteurs économiques d’offrir librement, ou de manière facilitée, des services dans tous les États membres depuis leur État d’origine : liberté d’établissement et libre prestation de
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