Michel CRUCIANI Conseiller Énergie-Climat à Confrontations Europe, chargé de mission au CGEMP – Université Paris-Dauphine [vc_btn title= »Télécharger l’article » color= »primary » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » css_animation= »bounceInRight » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2018%2F07%2FRevue-122-P29.pdf||target:%20_blank| »] Le séminaire Électro-Mobilité organisé par Confrontations Europe à Bruxelles le 7 juin a mis en évidence à la fois la cohérence du cadre législatif proposé par la Commission Européenne, les obstacles qui restent à surmonter, et le volontarisme des acteurs pour réussir cette profonde mutation. Pour la plupart des analystes, le développement massif des véhicules électriques ne fait aucun doute. Leurs performances techniques enregistrent des progrès continus et la « propreté » de ce moyen de transport en phase d’utilisation satisfait les élus soucieux de réduire la pollution atmosphérique. La Commission refuse de privilégier la voiture électrique au détriment des véhicules au biogaz ou à l’hydrogène, mais, depuis deux ans, elle assemble méthodiquement tous les éléments susceptibles de favoriser son déploiement. Ainsi, les paquets « Mobilité propre » et « Énergie propre »
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