Par Yannick PEREZ, Professeur en Sciences économiques, Chaire Armand Peugeot, Centralesupélec [vc_btn title= »Télécharger l’article » color= »primary » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2022%2F02%2FPEREZ.pdf||target:%20_blank| »][vc_btn title= »Version complète » color= »primary » align= »right » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2022%2F02%2F24-133-YP.pdf||target:%20_blank| »] En raison de la transition énergétique et des transformation profondes, telles que la libéralisation, la décarbonation et la numérisation, les services publics d’électricité traditionnels subissent une demande de transformation sans précédent de leur mode de fonctionnement. Le secteur de l’électricité est également impacté par la transformation numérique qui brouille la distinction entre la production et la consommation, et permet quatre opportunités interdépendantes : la réponse intelligente à la demande, l’intégration des énergies renouvelables variables, la facilitation du développe-ment de ressources énergétiques distribuées et les technologies de recharge intelligente d’électromobilité. Au cœur de l’électromobilité se trouve le véhicule électrique (VE) qui interagit avec le réseau électrique et les services publics. Selon l’Agence internationale de l’énergie (AIE), il existe plus de 10 millions de voitures électriques, 290
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