Peut-on imaginer que la Pologne et la Hongrie quittent l’UE ?

Piotr Micula Expert du Programme Politique Étrangère & Questions Internationales de Wise Europa (Pologne) [vc_btn title= »Télécharger l’article » color= »primary » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2017%2F07%2FPologneHongrieUE-Confrontations.pdf||target:%20_blank| »][vc_btn title= »Download the English version » color= »primary » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2017%2F07%2FConfrontations-PiotrMicula.pdf||target:%20_blank| »] Le veto que la Pologne et la Hongrie ont opposé cet hiver au plan de relance a révélé les crispations que suscite le mécanisme conditionnant le versement des fonds de l’UE au respect de l’état de droit. Piotr Micula de Wise Europa revient sur la signification d’un tel bras de fer. Le 16 novembre 2020, le Comité des Représentants permanents (COREPER) réunissait 27 ambassadeurs des pays de l’UE pour approuver le cadre financier pluriannuel (CFP) et le plan de relance NextGenerationEU. Pourtant, deux pays –  la Pologne et la Hongrie – ont opposé leur veto à cet accord historique, après que le COPERER a approuvé le principe d’un mécanisme de conditionnalité introduisant un lien entre le respect

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