Non, la zone Schengen n’est pas morte

Hervé Jouanjean Vice-président de Confrontations Europe [vc_btn title= »Télécharger l’article » style= »outline » color= »blue » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fprod.confrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2016%2F03%2FRevue-n%C2%B0112-Non-la-zone-Schengen-nest-pas-morte-H.-Jouanjan.pdf||target:%20_blank »] Face à l’arrivée massive de migrants, certains États membres ont choisi de réintroduire temporairement les contrôles aux frontières intérieures, en ayant recours aux dispositions d’urgence prévues dans le code Schengen. Des voix s’élèvent et évoquent de ce fait l’échec de l’espace Schengen. Une posture aisée mais inefficace. Schengen pâtit du manque de confiance qui existe entre États membres participants. Mais Schengen doit être doté de dispositifs de contrôle plus efficaces. Plus de 1,5 million de migrants irréguliers ont franchi les frontières externes de l’Union européenne au cours des onze premiers mois de l’année 2015(1). Ce chiffre n’est pas loin d’atteindre le double des entrées de migrants irréguliers au cours de la période 2009-2014. Cette arrivée massive a mis à rude épreuve les mécanismes en place dans le cadre de l’accord de Schengen maintenant intégré

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