Nationalismes : l’UE prise d’assaut ?

Auteur : Dominique Vidal journaliste et historien [vc_btn title= »Télécharger l’article » style= »outline » color= »blue » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » add_icon= »true »] Si le Royaume-Uni a maintenu le cap sur le Brexit, il a, ce faisant, dissuadé les autres forces nationalistes de le suivre sur ce chemin. Pour la plupart d’entre elles, l’objectif n’est plus de quitter l’Europe, mais de s’en emparer. Et les élections de mai ont marqué une avancée significative de cette nouvelle stratégie. Quel en est le terreau ? Toutes tendances confondues, les partis nationalistes, populistes, souverainistes et d’extrême droite sont passés en cinq ans de 155 à 176 députés (sur 751) au Parlement européen (PE(1)). La poussée déjà enregistrée en 2014 s’est donc amplifiée en 2019 : progrès dans seize États membres, recul dans six seulement. Encore faut-il relativiser ces quelques reflux. Ils incluent par exemple le résultat du Rassemblement national (RN), inférieur de 1,5 % seulement à celui du Front national (FN)

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