Par Mario Telò, Professeur de sciences politiques à la LUISS (Libera Università Internazionale degli Studi Sociali) à Rome et à l’ULB (Université libre de Bruxelles) [vc_btn title= »Pour commander l’ouvrage » color= »primary » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2017%2F07%2FFlyer-REGIONALISM-AND-MULTILATERALISM.pdf||target:%20_blank| »] Mario Telò revient sur la signature, le 16 novembre, de l’accord de libre-échange de l’Asie Pacifique, le RCEP ((Regional Comprehensive Economic Partnership), qui rassemble 15 pays d’Asie Pacifique. Une grande absente néanmoins, l’Inde qui a refusé d’y adhérer. Pourquoi un tel accord a-t-il été signé en dehors de l’OMC ? Quel impact pour l’Union européenne ? Le 15 novembre dernier, après huit ans de négociations, le grand accord de libre-échange de l’Asie Pacifique a été signé. Le RCEP (Regional Comprehensive Economic Partnership) aurait dû rassembler les 10 pays de l’Association des Nations du sud–est asiatique (Brunei, Myanmar, Cambodge, Indonésie, Laos, Malaisie, Philippines, Singapour, Thaïlande et Vietnam), les trois grandes économies de l’Asie du nord-est (Corée, Chine et Japon) et deux des trois
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