Olivier Bogillot, Président de Sanofi France [vc_btn title= »Télécharger l’article » color= »primary » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2022%2F06%2FPages-de-134-56.pdf||target:%20_blank| »] À l’heure des élections présidentielles et législatives françaises, la vision européenne est apparue comme une ligne claire de différenciation entre les propositions politiques : les citoyens sont préoccupés au quotidien par leur santé et leur prévoyance, et la conférence sur l’avenir de l’Europe a classé la santé comme thématique prioritaire, à côté du changement climatique et de l’environnement, de l’économie, de la justice sociale ou de l’emploi. La pandémie a accru la nécessité de mettre en place une Union européenne de la santé1 , une coordination renforcée à l’échelle de l’UE, ainsi que des systèmes de santé plus résilients et une meilleure préparation aux futures crises potentielles. Lorsqu’on s’interroge sur l’autonomie alimentaire et énergétique ou sur l’industrie, la question européenne s’impose comme moyen et niveau d’intervention pertinent dans une compétition internationale de plus en plus
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