Jérôme VIGNON Président de l’Observatoire national de la pauvreté et de l’exclusion sociale [vc_btn title= »Télécharger l’article » style= »outline » color= »blue » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2016%2F07%2FRevue-109-vignong-p13.pdf||target:%20_blank »] Tout est prêt pour mettre en œuvre la « clause sociale globale ». La Commission Juncker a constitué une solide équipe. Les premiers pas sont encourageants. Néanmoins la marche est haute. Le 1er octobre 2014, Marianne Thyssen, parlementaire européenne chevronnée du PPE, passait haut la main l’épreuve d’intronisation à la fonction de commissaire « en charge de l’emploi, des affaires sociales, des compétences et de la mobilité ». Son programme, fidèle aux priorités affichées depuis plusieurs semaines par Jean-Claude Juncker, semblait aussi s’inscrire dans le fil des politiques sociales suivies par la Commission européenne depuis une dizaine d’années. On y retrouve en effet un dosage que la crise de 2008 paraît avoir durablement imposé : un très fort accent sur le renforcement de la politique de l’emploi
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