Vincent PIRON Vice-président du groupe de travail « Infrastructure & Financing » de la Fédération de l’industrie européenne de la construction (FIEC) [vc_btn title= »Télécharger l’article » style= »outline » color= »primary » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2017%2F10%2FConfrontations-Europe-n%C2%B0-119-PDF-BD-p23.pdf||target:%20_blank| »] La vocation du Plan d’investissement pour l’Europe, dit « plan Juncker », est de créer un effet d’entraînement incitant des investisseurs à opter, avec la Banque européenne d’investissement (BEI), pour des projets plus risqués. Deux éléments clefs entrent en ligne de compte : le financement (« financing ») plutôt aisé à mettre en place et le choix de la source de remboursement des prêts (« funding »), qui reflète une vision budgétaire et économique. L’argent est là ! Le financement (« financing »), c’est-à-dire la capacité de lever des fonds (emprunts, investissements financiers) pour faire face au décalage temporel entre besoins d’investissements physiques dans la période de construction et génération de revenus dans le futur, ne pose plus problème aujourd’hui. Contrairement à la période de la crise
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